Lors d’une exposition, Eric-Emmanuel Schmitt s’arrête devant un portrait sculpté de Beethoven. Il se souvient alors de ses jeunes années et de sa passion pour le compositeur. S’ensuit alors un essai sur l’évolution de notre époque qui, selon lui, ne croit plus en rien.
Ce livre fait partie d’une série intitulée « Le bruit qui pense », en hommage à la phrase de Victor Hugo : « La musique, c’est du bruit qui pense » commencée en 2005 avec « Ma vie avec Mozart ».
L’essai est suivi d’une nouvelle : « Kiki Van Beethoven ». Il s’agit de l’histoire de Kiki, une dame âgée, pensionnaire d’une maison de retraite qui trouve un jour dans une brocante un buste de Beethoven. Elle le rapporte chez elle persuadée que ce buste va lui faire entendre la musique du compositeur.
J’ai été plutôt déçue par cet essai qui reste relativement simpliste et superficiel. Je n’ai pas vraiment adhéré à la leçon de vie que tente de nous donner Eric-Emmanuel Schmitt. Quant à la nouvelle, il s’agit certes d’une jolie fable vite lue et grâce à laquelle on passe un agréable moment, mais sans plus !
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